Anaïs Wenger
Focus
Je n’arrive pas à me défaire de cette histoire que m’a racontée Anaïs Wenger. Lorsqu’elle était étudiante en école d’art, elle a souhaité faire une année de césure entre les premier et second cycle. Quand on prononce devant moi le mot de césure, je revois le directeur d’une école où j’ai enseigné, me disant, l’ …