« Ce film travaille les écarts historiques entre la tradition japonaise de la réparation et l’obsolescence des processus d’industrialisation. À la subtile économie qui transforme les effets temporels de l’usure, des cassures de céramiques solidarisées par des laques colorées aux cloisons coulissantes en papier restaurées par des raccommodages apparents, répond l’entropie mortifère de la puissance atomique et la catastrophe écologique de Fukushima.» (GL)
Avec le soutien de Fonds cantonal d’art contemporain, OCCS – DIP, Genève
Département de la culture de la Ville de Genève
CRÉDITS:
Images: Véronique Goël
Images additionnelles: Andreas Kressig
Montage: Orsola Valenti, Véronique Goël
Mixage: Martin Stricker
Etalonnage: Jean-Baptiste Perrin
Voix off: Manouchka Toubiana, Anne-Laure Sommer, Véronique Goël
Production: Véronique Goël