Moulage de disques vinyles en béton. L’installation est composée de piles de disques ainsi que de platines qui les lisent.
« Le sillon délicat, moulé à partir de véritables vinyles,
est gravé dans la pierre. On n’en croit pas ses oreilles, pourtant ça fonctionne. La musique est préhistorique et le son, sauvagement analogique, nous parvient bousillé, décoloré, consumé. Le dance floor exulte : “avec ces briques de son, nous bâtirons une architecture de chaos !” »
Tiré du dossier de l’exposition «Tous ce qui se fait sous le soleil», cur. Julien Amouroux, Patricia Buck et Carole Rigaut, Le Lieu Unique, Nantes, 2015.
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